Mon e- Portfolio

State College, le 15 novembre 2015

 

 

Monsieur le Rédacteur,

 

Récemment, je lisais une article intitulé " ‘I am with them’, le project qui donne un visage aux réfugiés" par Julia Dumont. Il a été publié le 26 octobre sur la France 24 Journal. L'article porte sur l'artiste français Anne A-R. Pendant de nombreuses années, elle a été photographier les réfugiés partout dans le monde. Elle a commencé un nouveau projet prenant des photos de l'réfugiés syriens qui voyagent à l'Europe. Elle a voyagé d'être avec eux et suit tout au long de leur voyage.  Je vous écris à propos d’une situation d’une certaine urgence. La crise actuelle des réfugiés en Europe est pressant et doit être abordée. Je crois que chacun devrait être conscient de la situation. Les réfugiés devraient avoir une voix.

 

Anne A-R commencé à prendre des photos de réfugiés il y a longtemps. Elle croyait que les médias présentaient les réfugiés à être désespérée et impassibles. Elle était frustrée par les rapports des " centaines " morte par la nouvelle. Le media n'était pas donner aux réfugiés une representation précise. Bien sûr qu'ils sont désespérés, mais il n'y a plus pour eux que des chiffres de morts. Anne a décidé de leur donner une visage aux médias. Elle prend la photographie et écrit leur nom au dessus de la photo. Je suis d'accord avec son idée et je pense que son travail est admirable.

 

Maintenant, la réfugiés syriens sont désespérés pour entrer en Europe. Mais cela ne signifie pas qu'ils sont des gens faibles ou pathétique. Ils ont quitté leur pays pour une raison et essaient de fuir vers la sécurité. Les reportages du nombre de réfugiés qui sont trouvés morts chaque semaine avec images horribles d'enfants morts. Ce n'est pas la façon dont nous devrions être dépeignant. Ils sont des médecins et des avocats, ce sont des gens comme nous. Ils sont maintenant dans une situation aussi explosive et ont besoin d'aide. Il existe des moyens pour aider les gens sans les décrivant comme pitoyable. Je pense qu'il est très arrogant des médias à ne donnent qu'une image pathétique et impersonnel des réfugiés.

 

Je pense que l'une des solutions aux problèmes des réfugiés apparitions dans les médias est de modifier les images. Au lieu de montrer des photos de cadavres et de pleurer visages, montrer aux gens et leur permettre de choisir comment ils veulent être représentés. Des projets comme Anne A-R sont de donner aux réfugiés une voix et une chance de raconter leur histoire correctement.

 

Veuillez agréer, Monsieur, l’assurance de ma considération distinguée.  

Nora Lemtouni